Audience solennelle de la rentrée judiciaire de la cour suprême

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Lundi 15 janvier 2024, a eu lieu au palais des congrès, pour la première de son existence, l’audience solennelle de rentrée judiciaire de la cour suprême, sous le très haut patronage de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Président du conseil supérieur de la magistrature, Monsieur Denis Sassou-N’Guesso. L’ouverture de l’audience était annoncée par le premier président de la cour suprême en saluant et remerciant solennellement la présence de Son Excellence Monsieur le Président de la république Denis Sassou-N’Guesso, invités, et tout un chacun en son rang et grade. Le premier président de la cour suprême s’est exprimé en citant ces prédécesseurs, aujourd’hui passés au trépas, que l’honneur lui a été donné d’accueillir, pour la toute première fois, l’audience solennelle de rentrée judiciaire de la cour suprême. Le premier président de la cour suprême, rappelant en ses mots, le devoir du magistrat, juge, avocat… je cite : « le droit c’est l’expression de logique implacable ». Exhortant ainsi sur la posture du juge « (…) que nul ne peut se dire juge et magistrat s’il n’est capable d’humilité, de modestie, de discrétion, d’humanisme, de travail acharné, et de logique dans son raisonnement ». A tour de rôle, le Bâtonnier de l’ordre des avocats du Congo et le procureur General près de cours suprême, ont pris la parole pour faire part, l’un pour une plaidoirie de circonstance, et l’autre, pour des difficultés rencontrées en exercice du métier, rappelant ainsi, le devoir du juge et avocat, qui est de faire valoir la loi au profit du citoyen et l’intérêt général. Le premier Président de la cour suprême en tout honneur, introduisit cependant, S.E.M le Président de la République, Monsieur Denis Sassou-N’Guesso pour son message d’orientation. Son Excellence Monsieur le Président de la République assurant son devoir régalien, a mis un point dans son discours sur la lutte contre les antivaleurs. Le Président de la République a exhorté les magistrats et huissiers de justice, au respect, en construisant un cercle de confiance et de responsabilité. Évoquant aussi la lenteur des délais de jugement qui doit être pallier.

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